Paris, le 29 juin 2021 - Bruce, agence de recrutement 100% digitale, dévoile les résultats de son étude “Recrutement et crise sanitaire, analyse des transformations du secteur” réalisée avec l’institut de sondage OpinionWay sur un échantillon national de 1 030 talents et 203 dirigeants, DRH et RRH du secteur privé. L’étude met en lumière les évolutions du secteur du recrutement dans le contexte de la crise sanitaire.
Une dynamique de recrutement amorcée et une nouvelle perception du travail
Malgré l’impact de la crise sur le marché du travail, le recrutement n’a pas subi de ralentissement économique. En effet, 97% des employeurs ont effectué au moins un recrutement sur cette période. 24% ont recruté jusqu'à 5 talents au cours de l’année passée. Un constat qui démontre la résilience et le dynamisme des entreprises françaises dans un contexte singulier puisque 9/10 employeurs ont pour objectif de recruter à nouveau dans les 12 prochains mois.
Mais la tâche ne s’annonce pas si simple car si la crise a transformé la société, elle a aussi fait évoluer la mentalité des talents qui sont désormais plus à l’écoute de leurs envies. Pour illustrer ce nouveau sentiment, 78% des talents qui envisagent de changer d’emploi dans les 12 mois souhaitent occuper un travail qui ait du sens, et 72% pensent se reconvertir professionnellement.
Une digitalisation plébiscitée par les employeurs et les talents
82% des recruteurs disent avoir dû adapter leurs méthodes de recrutement. Malgré une digitalisation expresse de toutes les étapes de recrutement, le bilan est positif pour les entreprises : ¾ des employeurs déclarent que le digital améliore les processus de recrutement. Cette même opinion est partagée par 6/10 talents. Un plébiscite qui est amené à durer car :
74% des employeurs pensent que le digital leur donne accès à de meilleurs profils
82% estiment qu’il simplifie le suivi du processus, et 80% la gestion administrative des ressources humaines.
L‘intérim digital, clef de voûte du recrutement digital
L’intérim, contrat jusque-là monopolisé par les traditionnelles agences physiques, voit désormais le digital comme un outil précieux. 15% des recruteurs considèrent l’intérim comme le contrat qui se prête le plus à la digitalisation, l’intérim arrive juste derrière le CDI (20%).
De manière globale, le digital est perçu comme un gain de temps pour 84% des employeurs et pour 83% des personnes en âge de travailler.
En outre, l’accès à une couverture géographique plus large est perçue comme un bénéfice pour 76% des talents et 82% des employeurs
L'existence de solutions capables de digitaliser l’ensemble du processus de recrutement, du sourcing candidat à l’envoi des relevés d’heure et l’édition de la paie, concourt à faire de l'intérim digital une solution de recrutement fiable tant pour les candidats que pour les employeurs.
Pour télécharger l’intégralité de l’étude : https://bruc.ee/4faU