Dernières actus

Job crafting : faire du sur-mesure avec son poste !. Julie Asselin, Responsable Marketing chez 365TalentsEt si l’… voir

Neuf entreprises européennes sur dix comptent sur une aide extérieure pour la paie. La rapidité et l’efficacité… voir

Le Workocooning pour réconcilier travail et bien-être. Tout au long de la crise sanitaire, l’impact du confinement… voir

La Fondation Jean-Jaurès et le cabinet de conseil Selkis ont mené une enquête, avec l'Ifop, auprès des salariés pour savoir ce que le bureau évoque, son utilisation actuelle et son devenir. Cette enquête mesure à la fois la place du bureau, du flex office ou encore de l'open space dans la vie des salariés, l'impact du lieu de travail sur leur vie (notamment la santé) et l'importance de l'espace de travail en terme de « sociabilité ». Car si le bureau est un lieu économique, il est aussi un lieu social.  
 
Chiffres clés de l'enquête :

  •     60 % des salariés travaillent tout le temps ou au moins une partie du temps dans un bureau ;
  •     1 salarié sur 5 (21 %) travaille en open space ; cette proportion s'établit à 34 % en Île-de-France, contre 18 % en province ;
  •     16 % des salariés de bureau travaillent en flex office (soit 10 % de l'ensemble des salariés). Le flex office concerne autant les femmes que les hommes ;
  •     38 % des salariés ayant un bureau attitré pensent que la configuration de leur espace de travail a une influence positive sur leur santé ; à l'inverse, 36 % des salariés n'ayant pas de bureau attitré pensent que la configuration de leur espace de travail a une influence négative sur leur santé ;
  •     67 % des moins de 35 ans pensent que la configuration de leur espace de travail a une influence sur leur santé ;
  •     un tiers des salariés de bureau considère que le principal inconvénient de la vie de bureau est l'obligation de présence lorsque ce n'est pas nécessaire ;
  •     20 % des salariés pensent que les fonctions ou les postes qui peuvent s'exercer à distance sont moins importants que ceux qui s'exercent en présentiel ;
  •     81 % des salariés de bureau trouvent normal qu'en cas de généralisation du télétravail l'employeur achète le matériel et 42 % trouvent normal que les postes devenus inutiles sans présence au bureau soient supprimés ;
  •     41 % des salariés qui travaillent dans un bureau considèrent que l'avantage principal dans le fait d'y travailler est la possibilité d'échanger avec des collègues, la vie de bureau ;
  •     plus de la moitié des salariés qui ont télétravaillé pendant la crise liée à la Covid-19 pensent qu'à l'avenir le travail s'effectuera la moitié du temps au bureau, l'autre moitié en télétravail ;
  •     à l'heure où l'organisation des bureaux tend à ne plus spécifier les espaces en fonction de la position hiérarchique, notons que 63 % des cadres considèrent que le fait d'avoir un bureau individuel est le signe que l'on a des responsabilités, quand moins de la moitié des ouvriers le pensent.

 
L'enquête et la note d'analyse sont disponibles  sur le site de la Fondation Jean-Jaurès.
Lire en intégralité

Sticky Menu
COLOR SKINS
COLOR SCHEMES