En 2018, 227 millions d'euros ont été investis dans les innovations agricoles françaises, soit 2,6% des investissements mondiaux (DigitalFoodLab). La France se place ainsi au premier rang européen. La technologie révolutionne ces métiers à des fins compétitives.
InVivo et les organisations syndicales accompagnent cette professionalisation de l’agriculture en structurant, sur un « double niveau », l’accord sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC).
Une forte implication des parties-prenantes pour définir le socle commun
Conçu et rédigé par la DRH d’InVivo et les organisations syndicales, l’investissement des pôles métiers a permis de préciser les objectifs du socle commun de l’accord : identifier en continu la sensibilité des métiers, intégrer les talents, s’adapter aux évolutions des métiers. Le rôle des parties-prenantes est d’informer les collaborateurs des changements en cours, des enjeux qui s’y rattachent, des perspectives de développement et opportunités professionnelles.
InVivo a créé - sur un double niveau (groupe et pôles métiers) - un outil d’échange d’informations et d’anticipation des évolutions du secteur : « Job Lab ».
« Le secteur agricole subit de nombreuses transformations ayant des impacts sur nos métiers. La priorité de notre stratégie GPEC est donc d’anticiper l’évolution des emplois. Job Lab, l’observatoire des métiers, nous offre cette vision prospective de l’emploi. » Sébastien Graff, DRH d’InVivo.
Une organisation plus agile pour adapter les solutions à chaque pôle métier
Les pôles d’activités (Corporate, InVivo Trading, InVivo Retail, Bioline by InVivo) définissent, déploient et suivent les mesures de la GPEC du socle commun. Pour une meilleure agilité et afin de répondre aux objectifs stratégiques RH de chaque pôle, une déclinaison de l’accord a été conçue. Elle s’est faite à partir de l’« expérience salariée », basée sur cinq piliers :
- Attirer, recruter & intégrer ;
- Evaluer & échanger ;
- Accomplir & développer ;
- Identifier & reconnaitre ;
- Planifier les parcours professionnels et les fins de carrière.
« Cette démarche encourage les passerelles entre chaque pôle métier. Elles favorisent la concertation et l’échange avec les autres branches d’activité du groupe, elles s’alimentent entre elles tout en s’appuyant sur le socle commun. » explique Sébastien Graff.