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Dans un contexte de questionnement sur l’engagement des salariés en entreprise, et au cœur d’un climat tendu sur le pouvoir d’achat, comment les décideurs peuvent-ils continuer à attirer et à fidéliser les talents ?

C’est pour répondre à cette question que Swile, acteur majeur des avantages salariaux et de l'expérience employé, a mené, en octobre 2022, en partenariat avec l’institut Augmented Talent, une grande étude auprès de 1500 salariés en France.

“Deux sujets clés se détachent pour les employeurs : la question de la rémunération est incontournable, à la fois comme critère de choix et comme préoccupation. Mais les sujets de fond d’épanouissement au travail, qui sont les véritables moteurs d’engagement, doivent continuer à être adressés, au-delà de la logique financière” note l’institut Augmented Talent.

1/ La rémunération est le critère numéro 1 d’attractivité

Il y a un sentiment d’urgence : 41% des salariés sont préoccupés par la fin du mois (vs 15% par la fin du monde). Ils ont le sentiment que leur niveau de vie se dégrade.

Dans ce contexte, les avantages salariaux (titres restaurants, chèques vacances, chèques cadeaux, complémentaire santé, participation aux loisirs, mobilité, sport & bien être ou encore services à la personne) sont perçus comme une solution positive à court terme : 75% des personnes interrogées voient les avantages salariaux comme un vrai plus.

Surtout, seulement 24% des salariés bénéficiant d’avantages ont le sentiment que leur niveau de vie se dégrade, contre 43% pour ceux qui n’ont pas d’avantages. Les salariés bénéficiant d’avantages sont aussi trois fois plus nombreux à estimer que leur pouvoir d’achat s'améliore (21% vs 7% pour ceux qui n’en bénéficient pas).

L'attractivité est, aujourd'hui, davantage adressée par le niveau de rémunération : 42% des salariés considèrent la rémunération et les avantages salariaux comme le premier critère de choix pour un employeur (devant l'ambiance et la cohésion d'équipe à 32%).

2/ L’engagement se construit au-delà d’une logique uniquement financière.

Quand on parle d'engagement (niveau de motivation x fidélité à l’entreprise) et de vision long terme, la rémunération est loin d'être le premier critère. Elle arrive même en 22ème position de la liste des 25 leviers d'engagement. Les salariés lui préfèrent une satisfaction sur :

  •     L’utilité du travail (qui arrive en tête des critères plébiscités par les sondés),
  •     L’adéquation entre le travail et les convictions,
  •     L’attention portée à l’écoute et la prise en compte de leurs besoins.

On constate, par ailleurs, un manque de cohérence par rapport aux attentes RSE : si 69% disent vouloir s'impliquer davantage dans des actions RSE, ils sont moins de 15% à considérer les valeurs et la mission de l'entreprise comme premier critère de choix. Les initiatives RSE arrivent en bas de classement des critères d'attractivité avec 10%.

Pour Shana Roy, Chief People Experience Officer chez Swile : "Ces enseignements renforcent et valident notre ambition, qui est d’aligner performance sociale et performance économique pour en faire les deux faces d’une même pièce. Nous sommes là pour aider les entreprises à développer leur attractivité mais aussi à fidéliser leurs collaborateurs. Nous le faisons en agissant sur leur bien-être au quotidien grâce, en partie, à des solutions pensées pour renforcer les différents leviers d’engagement au travail".

L’étude complète peut être téléchargée au lien suivant : https://landing.swile.co/etude-engagement-salarie-2023

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