Emmanuel-Stanislas

La révolution digitale tend à faire perdre aux métiers du management leur statut de « métiers » à proprement parler, pour évoluer vers des « rôles » successifs, à tenir selon les circonstances. Cette mutation remet en cause les certitudes des professionnels et bouscule une culture RH qui considère encore le management comme la source privilégiée des solutions aux problèmes que rencontre une équipe. Face à cette évolution, il est essentiel de convaincre les entreprises d’innover dans leur choix de recrutements managériaux.

Par Emmanuel Stanislas, fondateur de Clémentine

En une vingtaine d’années, le numérique aura fondamentalement changé la conception des relations entre collaborateurs au sein de l’entreprise. L’arrivée d’une nouvelle génération de jeunes professionnels, détentrice de nouvelles compétences digitales (devenues indispensables) aura, là aussi, joué un rôle essentiel. Ces jeunes recrues, en deman­­­de de plus d’autonomie, de plus de sens à leur action, mais aussi de plus d’accompagnement humain, ont contribué à mettre le management au défi de se réinventer.

Manager la réussite de tous

Le digital a contribué à faire advenir de nouvelles organisations du travail, plus collaboratives, allant à l’encontre de l’idée d’un management basé sur l’ascendant hiérarchique de « celui qui sait mieux que les autres ». Ce modèle du manager visionnaire et omniscient, suggérant les solutions et éliminant les problèmes pour, in fine, s’approprier tous les succès, est en passe de disparaître. Pourquoi ? Parce qu’il ne satisfait plus aux exigences actuelles du fonctionnement de l’entreprise, ni aux besoins de ses collaborateurs. Aujourd’hui en effet, les compétences mises en jeu dans les systèmes de production sont divisées en de multiples spécialités, portées par des individus « qui savent » et dont l’implication et la motivation sont indispensables pour atteindre les objectifs fixés. Plus encore : ces compétences sont aussi celles d’acteurs extérieurs avec lesquels il est nécessaire d’interagir le plus sereinement possible. Un tel système, pour fonctionner de façon fluide et réactive, a besoin d’un management constamment à l’écoute plutôt que de leaders autoritaires ne se fiant qu’à leur « vision ». Aujourd’hui un manager doit pouvoir accorder une véritable attention à son équipe, lui rappeler régulièrement quel est le rôle de chacun et comment il contribue à une réussite partagée. Cette réussite n’est plus présentée comme la sienne, mais comme une réussite collective. On comprend que, dans ce contexte, la bienveillance figure parmi les clefs d’une plus grande efficacité dans le management des ressources humaines.

Du manager visionnaire au manager-coach

En effet, dans un environnement où les changements se succèdent rapidement, un manager ne peut plus, par son attitude, être un facteur de stress supplémentaire pour les collaborateurs. Son action doit être motivante plutôt que contraignante : il doit se comporter… en coach. Un coach est une personne qui fait grandir (et réussir) les autres. Son talent se situe dans sa capacité à aligner l’intérêt de ses collaborateurs à ceux de l’entreprise ; il doit savoir qui est capable de quoi et dans quelles conditions. Le manager-coach est évalué sur des succès qui ne sont pas personnels, mais collectifs. Il doit donc accorder à son équipe une juste dose d’autonomie, l’encourager à se dépasser, lui faire confiance et valoriser les réussites de chacun ; ce qui suppose bien entendu… de savoir écouter (la chose la plus difficile qui soit). C’est cette écoute bienveillante qui conduit chacun à formuler ses besoins et à faire émerger, ensemble, une solution. Le manager-leader tyrannique, (même si visionnaire), s’appropriant les succès comme les échecs, est mort ; l’avenir appartient au manager-coach. Il devient essentiel de savoir l’identifier parmi les candidats et reconnaître ses qualités, ce qui n’est pas toujours simple dans une culture qui associe encore le manager bienveillant au… chef « sans poigne ».

Une authenticité indispensable 

Cela explique en partie les méprises actuelles dans les choix effectués : on assimile trop vite les qualités humaines d’un candidat manager (notamment son attitude bienveillante) à des comportements sans authenticité. Il ne suffit pas de serrer la main à tout un plateau chaque matin pour cocher la case « je me soucie du bien être de mon équipe » ; il ne suffit pas de demander à un collaborateur comment il va si l’on n’est pas capable d’entendre sa réponse - laquelle peut-être « non, de gros problèmes font que j’ai besoin de m’absenter » - ni de prendre les dispositions nécessaires. Etc. On rencontre encore trop de ces attitudes-type dont l’effet est encore plus regrettable que celui produit par le comportement d’un manager distant (on peut au moins penser que s’il n’est pas à l’écoute, c’est qu’il n’en a pas le temps). Un manager authentiquement « coach » se montre avant tout une personne attentive aux besoins des autres et n’éprouve pas le besoin de sentir toutes les lumières concentrées sur lui !

Vers des recrutements plus judicieux

Il y a tout à gagner à soutenir l’émergence de ce nouveau manager-coach. Les sociétés qui font appel aux chasseurs de talents en sont conscientes ; toutefois, elles peinent encore à faire confiance à qui n’est pas conforme à l’image traditionnelle du manager. A-t-on vraiment besoin d’un manager qui sache, décide et montre la voie avec assurance ? A-t-on besoin d’un manager qui rassure et protège ? S’il est temps de questionner les modèles actuels du top management dans l’entreprise, il est aussi temps de s’interroger sur l’ambiguïté de nos attentes ! En résumé : on veut aujourd’hui des managers innovants, bienveillants, capables d’emporter une équipe sur un projet, certes, mais on veut aussi qu’ils ressemblent à ceux qui étaient là avant ! Ne laissons pas ces anciens schémas (qui persistent parce qu’ils sont rassurants) devenir des entraves à des recrutements plus judicieux dans le contexte actuel.
 

Etude Randstad sur les managers et le digital

Transformation numérique : moins du tiers des managers craint la disparition de son poste

  • Pour 56% des managers le digital va avant tout faciliter le travail à distance,
  • 1 sur 2 pense que le numérique va supprimer les tâches sans valeur ajoutée, 
  • Seuls 31% s’inquiètent de l’impact du digital sur leur avenir professionnel.

A l’occasion de Vivatech, le groupe Randstad France a interrogé les managers sur les conséquences de l’impact grandissant du numérique sur leur vie professionnelle. Bonne nouvelle, dans leur ensemble, ils perçoivent plus volontiers les conséquences positives de la digitalisation croissante de leur vie professionnelle.

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Ainsi, plus de la moitié (56%) des managers interrogés identifient la facilitation du travail à distance comme la première conséquence permise par l’irruption des outils numériques. Ils sont également près d’un sur deux (47%) à estimer que le digital permettra de se libérer des tâches à faible valeur ajoutée pour gagner en efficacité. Autre point positif, 44% d’entre eux pensent que la technologie permettra de diminuer les déplacements professionnels auxquels ils doivent consentir.

« Peut-on affirmer pour autant que les managers perçoivent le digital uniquement comme une opportunité pour leur vie professionnelle ? Pas uniquement. Près d’un manager interrogé sur deux (45%) estime que les outils digitaux, s’ils facilitent le travail à distance, contribuent en revanche à réduire la frontière entre la vie personnelle et la vie professionnelle. Ce résultat vient relativiser la portée du « Droit à la déconnexion », introduit dans la loi El Khomri de janvier 2017.

La digitalisation impacte tous les métiers, même les plus traditionnels. S’il est difficile d’en mesurer la portée dans les années à venir, alors que 85% des métiers de 2030 n’existent pas encore, elle peut être, selon les cas, source de progrès ou d’inquiétude. Les managers en ont plutôt une image positive. Si près d’un sur trois craint de voir son poste disparaître, ce résultat reste très secondaire. On peut percevoir dans ces résultats une solide confiance dans leurs atouts et leur capacité à s’adapter aux nouveaux standards d’une vie professionnelle de plus en plus digitalisée. »

...  analyse François Béharel, Président du groupe Randstad en France.

Les managers s’interrogent également sur l’impact des technologies sur leur poste, même si ces considérations apparaissent légèrement en retrait. Ils sont néanmoins plus nombreux (42%) à penser que les outils digitaux contribueront à faire évoluer leur métier et les missions associées, qu’à craindre pour le maintien de leur emploi. Reste qu’un peu moins du tiers d’entre eux (31%) envisage la possibilité de la disparition pure et simple de leur poste à terme. Pour 13%, il s’agit même de la première conséquence de l’impact du digital sur leur vie professionnelle.

Des chiffres à rapprocher de l’étude « The future of work » de l’OCDE[1], qui estime que d’ici 20 ans en France, 16,4% des emplois pourraient disparaître, remplacés par des robots et 32,8% connaitront des transformations substantielles. Ces mutations devraient toucher en priorité les salariés les moins qualifiés, et largement épargner les cadres.

Méthodologie
L’étude Randstad sur les managers et le digital a été réalisée à l’occasion de son étude annuelle Randstad Employer Brand Research sur l’attractivité des entreprises.

Elle est réalisée par l’institut d’études Kantar TNS pour Randstad N.V.

L’échantillon sondé comptait 1178 managers isolés dans un échantillon de 9 893 personnes âgées de 18 à 65 ans. Il comprenait des étudiants, des salariés et des chômeurs, était représentatif de la population française (sexe, âge) avec une surreprésentation des 25-44 ans.

Les interviews ont été réalisées entre le 30 novembre 2018 et le 28 janvier 2019.

Les interviewés étaient sollicités par e-mail et invités à répondre à un questionnaire en ligne.

[1] OECD Employment outlook 2019 – « The future of work » – 25 avril 2019

Le n°1 mondial du CRM et le leader européen de l'éducation en ligne s'associent pour former des individus dans le monde entier à des métiers à forte demande dans le secteur des technologies.

Le programme, qui débutera cette semaine en France, est la première formation diplômante en ligne entièrement numérique reconnue par le gouvernement français.

Paris, le 15 mai 2019 - Salesforce (NYSE : CRM), le leader mondial du CRM, annonce sa collaboration avec OpenClassrooms, leader européen de l’éducation en ligne, visant à former les talents de demain aux métiers les plus demandés dans le domaine du numérique. Les deux entreprises lancent la première formation diplômante en ligne entièrement numérique, reconnue par le gouvernement français et certifiée par Salesforce. S'appuyant sur Trailhead, la plateforme gratuite d'e-learning éditée par Salesforce, ce programme formera aux rôles d'Administrateur Salesforce certifié et de développeurs de plateformes Salesforce certifiés, et a pour objectif de former et donner accès à un emploi à 1000 personnes d'ici 2021. 

Selon IDC, Salesforce et son écosystème de partenaires et de clients généreront 3,3 millions de nouveaux emplois dans le monde d'ici 2022, avec un impact mondial de 859 milliards de dollars de PIB additionnel. Salesforce et Openclassrooms joignent leurs forces pour répondre à la pénurie de talents et de compétences dans le secteur technologique. En créant un réservoir de talents indispensables à la croissance des entreprises, l'initiative conjointe offrira aux gens - des étudiants entrant sur le marché du travail aux professionnels en quête de reconversion dans la technologie - la possibilité d'accéder à des postes stratégiques, au coeur de la transformation numérique des entreprises. 

Le dispositif repose sur la plateforme Trailhead de Salesforce et le programme de formation innovant dispensé en ligne d'OpenClassrooms : l'étudiant doit élaborer un certain nombre de projets professionnalisants, correspondant à l'acquisition de compétences précises, nécessaires à la maîtrise des outils Salesforce. Par ailleurs, des rencontres sur site, des hackathons, des conférences techniques et des projets terrain seront également proposés aux étudiants. 

Les inscriptions à la formation Salesforce développeur seront ouvertes et opérationnelles aux étudiants dès le mois de juin 2019 tout comme les formations en alternance.

« Nous sommes sur un marché qui évolue extrêmement vite où les innovations et les opportunités business émergent en permanence. Il est impératif de former et de recruter les talents d'aujourd'hui et de demain.» explique Olivier Derrien, Directeur Général France de Salesforce. « En nous associant à OpenClassrooms, partenaire de notre plateforme d'apprentissage Trailhead, nous préparons des milliers d'entre eux à saisir de nouvelles opportunités professionnelles, avec une formation et des diplômes reconnus par le gouvernement Français. Nous sommes fiers de lancer ce partenariat en France pour renforcer l'implication de Salesforce dans le tissu économique français et poursuivre notre plan de création de 150 000 emplois directs et indirects d'ici 2022.»

« Rendre l'éducation accessible et former aux métiers de demain, c'est la mission d'OpenClassrooms. Ce parcours co-créé avec Salesforce correspond parfaitement à notre ambition, dans la mesure où il est directement lié à un gisement d'emploi bien identifié et en constante progression. Par ailleurs, nous sommes honorés de la confiance que nous accorde un leader technologique mondial comme Salesforce, qui a été convaincu par l'exigence pédagogique et l'approche par compétences que nous avons placés au coeur de notre modèle. L'objectif au-delà du premier millier d'étudiants à former sur ce parcours, est d'accompagner la croissance exponentielle de Salesforce pour multiplier encore l'impact de la formation en termes d'emploi et d'insertion professionnelle. », ajoute Pierre Dubuc, co-fondateur d'OpenClassrooms. 

Aujourd'hui, les consommateurs veulent tous vivre une expérience unique pendant un voyage, en faisant des courses ou en allant au restaurant. Et s'il en était de même en matière de formation ?  

C'est avec ce constat que la plateforme Shake my Firm arrive sur le marché de la formation avec l'ambition de casser les codes actuels en proposant une sélection de formateurs innovants, d'organismes de formation et de créateurs d'expérience.

Shake my Firm

La transformation digitale implique de changer la donne : à nouvelles façons de travailler, nouvelles façons d'apprendre. Pour les co-fondateurs de Shake my Firm, Fabien Ben N'Sir et Julien Nicolas, l'expérience représente un véritable accélérateur d'acquisition de savoir-faire (skill) et de savoir-être (soft skills). En étant confrontés à des expériences déroutantes, voire insolites, les salariés intègrent plus facilement des nouvelles approches dans leur travail et dans leurs relations avec les autres collaborateurs.

Julien Nicolas, cofondateur de Shake my Firm souligne :

« face aux enjeux vitaux soulevés par la transformation des entreprises, les expériences, de par leur fort pouvoir de marqueur émotionnel, sont les nouveaux leviers incontournables de transformation des états d'esprits. »

Visiter un quartier en pleine rénovation urbaine n'est-il pas un moyen de donner un nouvel éclairage à une session de créativité ? Suivre un atelier de prototypage ne permet-il pas de comprendre tout le potentiel d'un logiciel comme Arduino (qui permet la programmation de cartes) ?

Le site Shake my Firm est actuellement disponible en version bêta (accessible aux formateurs, organismes de formation et créateurs d'expériences). Il et sera ouvert à tous, salariés, indépendants ou personnes en recherche d'emploi au mois de septembre.

Les origines de Shake my Firm

Imaginée par les équipes de Louis Zero, la plateforme Skake my Firm a été créée en 2019, à la suite d'une expérience d'apprentissage inédite et éponyme, pensée par l'agence, qui s'est déroulée en mars 2017 à la Bellevilloise. Pendant 48 heures, une quarantaine de hauts managers ont tenté de répondre à la question impertinente : « quel sera le prochain petit con en sweat à capuche à venir défoncer votre modèle économique ? » avec des expériences d'apprentissage secouées par les codes du cinéma, du théâtre et du divertissement. Shake my Firm, c'est également un ton résolument décalé afin de susciter des réactions et sortir du carcan (trop) traditionnel de la formation.

Les fondateurs

La plateforme a été cofondée par Fabien Ben N'Sir et Julien Nicolas. Fabien est un entrepreneur spécialisé dans l'économie numérique. Il a notamment co-fondé les conférences TEDxCannes. En 2015, il lance avec Julien, Louis Zero, un atelier de design stratégique proposant une approche novatrice pour affronter les enjeux de transformation des entreprises.

Julien Nicolas, quant à lui, a longtemps œuvré dans la communication et le planning stratégique au sein des grandes agences du marché ou pour la compagnie Air Caraïbes. Il a également participé à la création de TEDxCannes.

Le Playground by Krys, une exposition artistique immersive et inédite construite pour les réseaux sociaux autour des collections Solaire Printemps-Eté 2019
Un lieu éphémère et surprenant pour célébrer l'été et la créativité

Krys réaffirme sa différence et poursuit son offensive stratégique sur le marché du solaire
 

Krys, enseigne leader de l'optique en France, lance un concept inédit en inaugurant le 1er parcours Instagrammable de France. Conçu comme une exposition artistique, le parcours propose une succession d'installations immersives et sera ouvert au grand public les 17 et 18 mai prochains. Cet écrin interactif où chacun pourra exprimer sa créativité et son individualité, met en lumière les solaires de la collection Printemps-Eté 2019 et leur style affirmé.

Cet évènement soutient la stratégie de Krys visant à reconquérir le marché des lunettes de soleil mode et à petit prix, un marché qui a été capté ces dernières années par des enseignes de textile, de sport et de grande distribution.

« Nous avons voulu créer un évènement original, en phase avec l'ADN de notre marque qui valorise l'audace et mise sur la différence, pour illustrer le retour en force de Krys sur le marché du solaire Après le lancement en France de la marque Privé Revaux en exclusivité dans nos magasins en septembre dernier, nous poursuivons notre offensive. Nos gammes ont été entièrement repensées pour coller aux tendances et leur positionnement prix a été revu de façon à réinvestir pleinement le segment des lunettes de soleil mode et à petit prix. Cette stratégie commence à porter ses fruits et notre ambition est de consolider notre rôle de leader sur le marché, en pleine mutation, de l'optique en France, » souligne Jean-Pierre Champion, Directeur Général de KRYS GROUP.

Krys dynamise le marché du solaire et fait souffler un vent de fraîcheur sur le secteur

Krys démontre une nouvelle fois sa capacité à concilier leadership et audace, en proposant le 1er parcours Instagrammable de France, une exposition immersive et ludique conçue pour les réseaux sociaux à l'ère de l'Instagramart. Le #Playground by Krys a été pensé de façon à ce que chacun puisse se l'approprier, s'y sentir unique et exprimer sa créativité. Les installations artistiques qui le jalonnent invitent le visiteur à se mettre en scène dans des décors aux couleurs éclatantes et des jeux de lumières étonnants, puis à partager cette expérience sur les réseaux sociaux. Avec ce lieu éphémère et surprenant, Krys continue de casser les codes et ose des actions de communication décalées pour affirmer un positionnement résolument ancré dans son époque.

Krys poursuit son offensive sur le marché solaire

En septembre dernier, Krys affichait sa volonté de reconquérir le marché des lunettes de soleil mode à petit prix en lançant en exclusivité dans son réseau la marque Privé Revaux qui s'implantait alors en France. 9 mois plus tard et fort de ce premier succès, Krys poursuit son offensive stratégique.

Des gammes renouvelées au style affirmé et au positionnement-prix agressif

Les Millenials constituent pour Krys, à l'instar de nombreuses autres marques, une cible stratégique. Pour les 18-35 ans, le style et l'esthétique sont les critères les plus importants lorsqu'ils doivent choisir une paire de lunettes de soleil : ils sont 67% à citer ces critères, devant le prix (45%) et l'indice de protection (41%) (1).

Pour satisfaire cette cible, sans oublier sa clientèle historique, Krys a renouvelé ses gammes avec des modèles qui associent style, protection solaire et positionnement-prix attractif, de 19 à 49 €, pour répondre aux envies des Français quel que soit leur âge, leur profil ou leur budget !

Une stratégie de croissance originale qui s'appuie sur les réseaux sociaux et l'influence

Krys mène une stratégie de communication qui fait le pari de l'audace créative, des réseaux sociaux et de l'influence. Ces derniers mois, l'enseigne a multiplié les partenariats avec les influenceurs stars de YouTube et d'Instagram. Cette stratégie participe au rajeunissement de la marque qui va encore plus loin avec son Playground qui cible clairement les réseaux sociaux et invite ses clients à valoriser leur propre style, leur propre personnalité. De nombreux influenceurs se rendront d'ailleurs sur le Playground et relaieront leur expérience sur leurs comptes.

Le Playground by Krys, 13 Rue de la Grange Batelière, 75009 Paris

Inauguration le 16 mai 2019 - Ouverture au grand public les 17 et 18 mai de 10h à 19h.

(1) Enquête réalisée par Odoxa pour Krys auprès d'un échantillon de Français interrogés par internet les 22 et 28 août 2018.